L'ange t'a déposé aux pays des humains
Depuis ton premier jour tu souffres incompris
Des promesses de mort qui sont nos lendemains
Le Ciel s'est effacé afin que tu le pries
Ta vie est vile à l'homme et tu es sans renom
Ni attaches car si l'amour fait des merveilles
La traîtrise t'a fait perdre jusqu'à ton nom
Ton cadavre est pour ces vers qui dans les nuits veillent
Transmués en mots chagrins où des mots te délivrent
La main liée au cerveau servant pour la survie
À notifier ainsi tout l'acquis dans des livres
Toute minute est peine et tout mois un calvaire
Mais chaque heure après heurt est à goûter en vie
Jusqu'à ce que l'ange te rappelle en son aire.
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