Sous les concaves mousseux
Flotte la sainte eau !
L'âtre d'une gemme.
Face au miroir doux de tes yeux,
Quelques fleurs,
Bleues de désir
Murmurent à peine leurs secrets !
Tandis que l'alizé
Se tord comme le cou
Des tigelles.
C'est mon seul souvenir
De ce printemps.
L'âtre d'une gemme !
Passion embaumée !
Amour oublié !
Fraîcheur d'un instant.
Oh ! Mon cœur !
Une toile en nuée !
Dessine le paysage !
Mais ! D'ores déjà !
De mon passé
si lointain déjà !
J'ennoblis de
Larmes blanches
L'étang de
Tes pleurs.
D'espoir ! Aussi !
Sous la montagne
Cette fois- ci encore
Ma belle !
Bercent les myrtes
L'aile volante
De nos baisers !
De son âme !
Aux mille vœux !
Pures et sincères !
Mes prunelles d'enfant
Contemplent
L'horizon.
Mon sourire dans le noir !
J'ai si peur de décevoir !
Une fleur mime un arbre !
Et de nouveau s'épanouit
L'espoir !
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c'est vraiment un effet de douceur, j'ai pu le ressentir comme cela , alors bravo bien écrit..... c'est magnifique homere.. | |
plustout |
un trés beau poème j'ai beaucoups aimé | |
derzat |
très joli poème Homere, j'ai aimé, beaucoup de douceur... | |
MAZBRI |