J'ai regardé le ciel, tu n'y étais pas
Seuls, les oiseaux flammés, le parcourait.
Tu sais, ceux dont l'imprudence folle
A fait roussir leurs ailes,aux chauds rayons?
Parfois, je me sens si près de toi
Que j'en tremble de mille frissons.
Dans le reflet de la rivière
Je pourrais presque t'y voir, tu sais
Peut-être déposes-tu ton âme
Sur le calme lit des eaux claires?
Peut-être est-ce ton chant que j'entends
Sous le roulement des vagues qui m'endorment
Souvent, par soir étoilé
Je fixe le ciel, pour te trouver
Mais je ne vois que ces oiseaux flammés
Qui s'égaient de l'immensité
Qu'on leur a accordé, un peu trop tôt
Écrit par fee-de-ble
la beauté est là où on s'y attend le moins
Catégorie : Amour
Publié le 13/02/2019
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Commentaires
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Posté le 13/02/2019 à 11:53:34
Magnifique et touchant poème ! Merci Fée pour ces paroles coupées dans la douceur du sentiment . |
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Yuba |
Posté le 13/02/2019 à 16:55:56
Quels derniers vers, Fée ! C'est magistral ! Je me suis laissé emporter sur les ailes des oiseaux. Merci beaucoup. | |
jacou |
Posté le 14/02/2019 à 00:55:56
Merci Yuba!!! Heureuse de vous avoir fait voyager sur ces esprits ailés Jacou | |
fee-de-ble |