Cent vies
Laisser la vie s'effondrer
se briser comme glace en hiver,
l'eau souillée, l'eau souillée
et les peines qui s'effacent.
Plus d'espoir asservi
par les rêves envenimés
rien ne change, rien ne change
la larme rouge a coulé.
Dans l'oubli,
mon prénom n'est que mirage,
sous les flots de peines gisent mes traits froids et marqués.
L'or noir de mes entrailles liquides,
peint de sang blanc les pages déchirées et tachetées...
Regarde, regarde la nuit,
regarde ton coeur qui s'enfuit,
les peines gravées sous un ciel torturé
les mots des beaux jours vacillent sur ton âme fatiguée
ton espoir est devenu sourd et tes croyances sont oubliées.
Tu gîs sur ton lit
Sans vie sans son sourire ....
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Commentaires
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Posté le 25/08/2011 à 23:35:52
bonsoir eternal, très bel écrit, que j'ai lu et relu, poème mélancolique et sombre ... amitié poétique |
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marie-ange_old2 |
Posté le 26/08/2011 à 19:12:37
Belle métaphore. Le sang blanc du poète c'est de l'or liquide. Que des pages d'encre sympathique puissent emplir tes commentaires. Beau texte! | |
the boss |
Posté le 28/08/2011 à 20:36:53
merci à vous deux mon or c'est vous qui le jugez... | |
eternal |
Posté le 03/03/2012 à 16:52:20
j'aime ton écriture. | |
eco-blanchiment |