Tu m'acceptes et me côtoies comme un ange dans le ciel,
toujours ces débuts ou le bonheur nous affronte
la grisaille s'annonce, sous la gorge le scalpel
Cicatrice insoutenable ô larme que mutile la honte.
Le cœur insipide ce précieux ce rit de moi
Ces échecs le guide vers ma souffrance et mon abject décadence ...
Je revendique mon inutilité, je n'ai jamais rien eu a vous donner...
Si peu être...
un soutien affectif...
Une perle d'amour que personne n'a su remarquer.
Mais bon peu importe mon cœur si ai fait...
Il s'est fait,
A ces limbes où l'on se nourrit de chaire et de larme.
Ou l'insomnie broie tout les restants de plaisir que l'on pourrait avoir.
Et moi que suis-je?..
je ne suis que l'ombre d'une ombre invisible. inutile.
un clou rouillé par un afflux de larme versées.
Eternal
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Le mal être me noie, j'ai peur d'elles... | |
eternal |
Une peur que ressent un homme qui à peur de n'être pour sa belle qu'une folie passagère, un amour fugace, qui passe et qui ne lui apportera que regrets, souffrances et désillusions,je trouve ton poème beau, mais pour moi le début d'une histoire est vécu à deux dans le but de durer de s'amplifier et de finir à la mort donc !... |
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Ecriveuse |
Tu a peut ètre raison, mai le désir éphémère qu'elle me porte me pousse a ne plus croir... en moi ou en l'amour je ne sais même pas... Elle maquille leur désintéressement par un bonheur qui me semble éternelle... Et lâche toute leur haine en les moments les moins attendus... | |
eternal |
Joli texte, on dirait un noeud gordien :) Je te souhait du courage, et d'être psychologue ! La douleur et cette aspiration intérieure infinie que l'on nomme généralement amour ne sont pas réductible entièrement à du rationnel, et donc pas totalement contrôlables, mais on doit se protéger en dirigeant le moins possibles les forces disponibles contre nous (elles sont colossales quand il s'agit de ce sentiment). Amitiés |
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CieletTerre |