Je ne me suis jamais senti aussi bien
En pleine possession de mes moyens
Que part cette nuit chaude du mois d'août
Torride et sans doute,
Mes yeux voient plus loin qu'ils ne le laissent voir
Derrière les miroirs
Et mon âme se laisse transporter par les vents
Jusqu'au petit matin levant
Derrière les portes du temps
Derrière l'écran
Entre mes murs de pierre
Et la ville entière.
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Commentaires
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Posté le 22/08/2010 à 19:29:55
attachant poème tu aimes bien ta ville , pas vrai,???bisou genou hibou , chou, bijou,,, | |
flipote |
Posté le 22/08/2010 à 19:33:25
la fin de ton poème me rappelle avec derrière l'écran le film LA ROSE POURPRE DE CAIRE LES PORTES DU TEMPS CELA AUSSI ME PARLE BEAUCOUP. | |
flipote |