Rien ni personne ne peut me comprendre
Quand vient le soleil j'aurais voulu mourir parterre
Il y a ton sourire qui vient se fendre
Je préfère courir dans les airs
Comme ensorcelé je plane et ne reste pas
Qui à voulu entendre ma voix
Si ce n'est que pour la couvrir comme un malfrat
Je préfère quand tu me pointes du doigt
Le ciel est lourd ce matin
Il étouffe chaque geste et parole que je sème
De ma vie il ne sait rien
Mais il arrive à atteindre mon emblème
Court la vie
Tourne la roue
Un jour je lui ai dit
Que dans ce monde on joue
Mais moi je fuis quand tu reviens
J'aimerais tellement que tu saches me retenir
Mais moi tu sais je t'aime bien
Pourrais-tu m'enlever du cœur la sensation de me flétrir
Écrit par enfantine
Prend tes amies prés de toi, et garde tes ennemies sous le coude.
Catégorie : Amour
Publié le 03/11/2009
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