Ami j'ai vu un jour
Périr les nuits glacées,
Brisées les femmes lasses
Qui brillaient au contour.
Ce fut une fin latente
Que je peine à retrouver,
Au détour de ses rides
Je me suis écarté.
Des soleils que l'on dépeint
Notre fureur s'en est allée,
Et la lune brillait
Toujours dans les allées.
Je fuyais les longs sommeils
De peur de m'égarer.
Un éclat, n'émerveille
Que les profonds sentiers.
Ce n'est qu'en moi même
Que toujours je m'égare,
Quand tu m'attends sous l'étoile,
Dans tes marées.
Écrit par cocoboys@hotmail.fr
Que les femmes me pardonnent de n'être fait pour elle,
D'être comme un nuage qui recherche son ciel De n'être qu'un navire toujours à la détresse, Et cette envie de fuir de ceux qui sont en laisse ... Catégorie : Triste
Publié le 16/08/2012
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Commentaires
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Posté le 16/08/2012 à 21:26:20
J'ai été portée par ce poème, par l'ambiance qu'il instaure et le lieu qu'il décrit, un lieu qui ressemble à un ailleurs mystérieux. | |
Harmonie |
Posté le 28/12/2012 à 19:47:41
J'aime ta lucidité. | |
eco-blanchiment |