J'apprivoise les douces vapeurs
Les trains me mènent où bon me semble
Croisant une pierre le wagon tremble
Terminus au mont des heures.
Ton épitaphe que j'ai croisé
Souillant la vie, les hanches au sol
Ces choses là qui nous rendent seul
Et ma quiétude s'en est allée
Je m'épuiserais dans tes temps
Me suffirais de ta présence
Trompant la mort de ton aisance
J'ai voyagé éternellement
C'est dans un coin de ma tête
Que tu resteras mon unique passion
Et tes yeux clairs me subviendront
Quand les jours coulent à la perte.
Écrit par cocoboys@hotmail.fr
Que les femmes me pardonnent de n'être fait pour elle,
D'être comme un nuage qui recherche son ciel De n'être qu'un navire toujours à la détresse, Et cette envie de fuir de ceux qui sont en laisse ... Catégorie : Divers
Publié le 10/05/2013
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de cocoboys@hotmail.fr au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 10/05/2013 à 16:29:16
beau travail! | |
amnous |
Posté le 10/05/2013 à 17:43:43
jolie fin | |
angelique |
Posté le 11/05/2013 à 08:14:24
et j'aime aussi beaucoup, le quatrain qui fait ta devise bisou jeune poète continue à écrire | |
flipote |
Posté le 11/05/2013 à 08:17:13
et vive les baroules à travers les traboules !!! ;= ) |
|
flipote |
Posté le 11/05/2013 à 13:08:14
Merci à tous :) | |
cocoboys@hotmail.fr |