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Je titube sur le béton, l'air pédant
Les ombres s'ouvrent à moi, tout un intellect
Je me réjouis de ces mets digestes
Bouffe une poignée de neurones un instant.
Saint univers que l'on a vu changer
Des sombres villes, des femmes qui en découlent
Tout juste viles, à peine saoules
Dans le dédale des quartiers.
Et je plonge dans cette foule
Ma plume est noire, pour ainsi dire brouillée
Dans mon cerveau comme fait la houle
Tout est mouvance, décliné.
Écrit par cocoboys@hotmail.fr
Que les femmes me pardonnent de n'être fait pour elle,
D'être comme un nuage qui recherche son ciel De n'être qu'un navire toujours à la détresse, Et cette envie de fuir de ceux qui sont en laisse ... Catégorie : Divers
Publié le 10/04/2013
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Commentaires
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Posté le 10/04/2013 à 14:06:02
Quelle sombre force et intensité. la chute est simplement majestueuse. |
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eco-blanchiment |
Posté le 10/04/2013 à 15:40:01
j'avoue être assez imperméable il me semble accompagner une difficile pérégrination d'un titi bien torché, (?) mais aussi peut-être suis je peu en forme et de mauvais poil tu n'en est pas moins un bon écriveur plein de savoir faire, amitié, tu n'en ES (correction) |
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flipote |
Posté le 10/04/2013 à 18:02:20
T'es au nouveau centre ah ah ? nan je plaisante ! Yarmat comme on dit en breton | |
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