Voilà passés les jours dégrisant
Sur les terres saintes désabusées
L'enfant meurtri la gorge serrée
D'un faire valoir méprisant
Une fois venue la femme chaste
Venu perdre un peu patience
Au près d'une fois de médisance
Dans son œil le monde est vaste.
La lune est claire dans l'ombre
D'un fou affable, et avenant,
L'œil écarlate et chatoyant
De vie virant au sombre.
La lune passe sous un nuage,
Lié les mains vers le fleuve
Chassent l'idée d'une pensée neuve,
Le rire perçant l'adage.
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Écrit par cocoboys@hotmail.fr
Que les femmes me pardonnent de n'être fait pour elle,
D'être comme un nuage qui recherche son ciel De n'être qu'un navire toujours à la détresse, Et cette envie de fuir de ceux qui sont en laisse ... Catégorie : Divers
Publié le 23/09/2014
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