A chaque signe une interrogation,
Virevoltant et sublime l'espoir pour seul haillon.
Près du sombre étang nos corps se confondent,
Nos reflets se changeant, sur l'eau vagabonde.
Je t'ai quelque part entre les pages d'un bouquin,
Par dessus nos remparts dans l'étang en son sein.
Près d'ici tu diverges, exploses tes artifices
Par delà les berges, le vent pour seul supplice.
Même le coeur assailli ne renies pas le plaignant,
Bien trop assagi, des vagues dans l'étang.
Chaque acte converge et nous ramène ici.
Chaque pluie prise au piège, murmure que l'ont épris.
Bien que l'eau soi profonde, et nos regards amorphes
Qu'au file d'une seconde, on se grave sur l'écorce.
Ce lac sera notre vice, montant jusqu'à nos pieds
A travers nos supplice, nos voeux de chastetés.
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Écrit par cocoboys@hotmail.fr
Que les femmes me pardonnent de n'être fait pour elle,
D'être comme un nuage qui recherche son ciel De n'être qu'un navire toujours à la détresse, Et cette envie de fuir de ceux qui sont en laisse ... Catégorie : Amour
Publié le 21/04/2012
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J'ai adoré le deuxième vers. | |
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Nous sommes deux dans ce triste périple. Amitiés | |
cocoboys@hotmail.fr |
La 2ème même loin sera toujours là pour aider la 1ère si elle a besoin, elle a son numéro de téléphone | |
papillonneuse |
gros coup de coeur pour la 2e strophe ! les deux premiers vers sont si intenses ! bravo ! al; |
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spock27 |