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Je ne veux plus subir les mouvements de la peur,
Simplement goûter au châtiment de l'effrois,
Et me sentir livide dans la fureur des émois,
Laissez-moi avec eux loin des sbires du malheur.
C'est un monde incongru qui chasse notre foi
Il n'y aura pas d'autarcie quand sonnera le glas
Une nuit tu seras pris au fond de la torpeur.
Des sempiternels jours à portée de doigt,
Prisonnier de ces terres qui ne ravissent pas,
A crier ''réussite'' tel le successeur.
Ne fais jamais l'ode de ton mea-culpa
J'ai gardé dans mon coeur ceux qui marchent avec moi
Le long de la rivière qui abrite nos leurres.
Coulant dans mes veines, les prières de la joie,
Dégustez mon majeur comme dernier repas
Vers les tombeaux de nos peines, et de nos douleurs.
Écrit par cocoboys@hotmail.fr
Que les femmes me pardonnent de n'être fait pour elle,
D'être comme un nuage qui recherche son ciel De n'être qu'un navire toujours à la détresse, Et cette envie de fuir de ceux qui sont en laisse ... Catégorie : Amitié
Publié le 19/01/2016
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