Sale temps, la mer se meurt,
La banquise me brise le cœur,
Elle s'évanouit, elle s'écroule,
Empoisonnée par les maboules.
Lentement la mer se démonte,
Elle en veut aux grands pontes,
Elle nous envoie le grand tsunami,
La mer qui veut rester notre amie.
La terre, par les typhons balayée,
Se morfond de congrès en congrès,
La terre et son amie la mer, pleurent
La venue d'une plus grande frayeur.
Pauvre planète qui pleure ces années,,,
Cette nature si belle, par elle façonnée
L'homme est arrivé, le rêve s'est brisé.
Présidents roitelets, rendez nous la beauté
Reçue en cadeau, respirant la santé.
Ainsi va la vie
Charlesp
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Commentaires
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Posté le 29/11/2015 à 00:05:15
Cela fait un peu Proust. | |
Intruder |
Posté le 29/11/2015 à 05:46:00
Un plaidoyer pour la sauvegarde des océans et de la nature en général. Nous devrions tous écrire à ce sujet. | |
TANGO |