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Comme un sourire triste qui part en s'endormant
Comme un amour complice qui saigne en nous quittant
Comme un rêve perdu qui ne cesse de nous hanter
Dans tous les regards où plongent nos pensées noyées
Dans la froide lucidité de ma trop sage raison
Qui se complaît à astiquer tous les barreaux de sa prison
Je me meurs mon amour à force de t'aimer ...
24 juin 2000
Écrit par calsior
A qui la poursuit
la luciole offre sa lumière ! ôtomo Oemaru Catégorie : Amour
Publié le 12/01/2008
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