- Le poème n'a pas encore été validé par un modérateur.
Marchant à l'heure de pointe sur les vieux pavés
Je n'étais qu'un simple passant parmi tant d'autre
Regardant cette vie qui soudain s'activait
Sur ces terrasses de bar où l'on entendait "à la votre".
Le village se réveillait, alors qu'il était vingt heures.
Dans la rue enfants et ballons une toile dessinaient,
Me ramenant à l'innocence que depuis quinze ans j'ai laissé.
Les gens buvaient et parlaient, formant ainsi ce chœur
De la ville remplaçant la mélodie du soir.
Mon regard se perdait dans leurs "cañas" et "copas",
Je ne faisais que passer, j'avais pour ce soir un repas.
Ainsi la fin de semaine on pouvait percevoir,
Le village se réveillait, alors qu'il était vingt heures.
Je marchais plongé dans mes pensées
Et de cette ambiance pour une fois je ressentais
Enfin un faux semblant de bonheur.
Écrit par caballero
o temps suspends ton vol, et vous heures suspendez votre cours, laissez nous savourer les rapides délices des plus beaux de nos jours
Catégorie : Amitié
Publié le 16/02/2008
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Amitié à découvrir... | Poèmes de caballero au hasard |
Annonces Google |
Quel beaux dégats dans les bodegas ! Belle ambiance, en fait. Bravo, Zorro ! Ton Elena ;) |
|
Nighty |