Vivre à la profondeur soudain d'un champ de blé
Je te retrouve amour avec mes mains tremblées
Qui m'est la terre tendre entre les feuilles mortes
Et nous nous défaisons de nos habits volés
Rien n'a calmé ces mains que j'ai de te connaître
Gardant du premier soir ce trouble à te toucher
Je suis à tout jamais ta scène et ton théâtre
Où le rideau d'aimer s'envole n'importe où
L'étoile neige en moi son éternel mois d'août
Rien n'a calmé ce cœur en te voyant te battre
Il me fait mal à force et rien ne m'est si doux
Tu m'es pourtant toujours la furtif passant
Qu'on retient par miracle au détour d'un instant
Rien n'a calmé ma peur je doute et je t'attends
Écrit par bonne chance
ne jamais baisser les bras !
Catégorie : Divers
Publié le 08/07/2006
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