Des mots comme des cris,
Puis des silences.
Tapis, enfouis, prêts à surprendre.
Des apostrophes et borborygmes,
Des onomatopées.
Quels amis reste-t-il
Sinon ceux-ci ?
Ils me soutiennent,
Pleurent avec moi
Ou me déchirent,
Selon le besoin,
Selon l'envie.
Ils subliment ma voix,
Eux-mêmes et le sens qu'ils portent.
Illuminent les amours mortes.
Puissent les rayons
Qu'ils portent tous en eux -
Mots, silences et le reste -
M'atteindre sous peu;
C'est qu'il fait froid sans toi.
Écrit par aliasniamor
"Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux" E. de la Boétie.
Catégorie : Triste
Publié le 21/11/2024
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