Qui es-tu qui te caches en cet instant fragile ?
D'où viens-tu, toi, fugace, ô l'adorable muse ?
Que viens-tu m'agacer dans mes rêv' difficiles ?
N'ai-je donc pas le droit moi à un peu de pleurs ?
Ne puis-je pas un peu faire appel à des ruses ?
Un ciel tombait sur moi, que tu as suspendu,
Un ciel pesait si lourd, et un jardin de fleurs
A osé m'être offert et que j'y sois perdu.
Écrit par aliasniamor
"Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux" E. de la Boétie.
Catégorie : Amour
Publié le 06/12/2011
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Commentaires
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Posté le 21/05/2012 à 14:54:39
Très beau poème aliasniamor que je viens de découvrir. J'aime ce rythme. | |
MarieVenture |