Et je reste mains posées
Sur la table de ma vie blasée
Buvant l'ultime verre
D'un espoir trop éphémère
Je me laisse aller souvent
Comme une porte claquante au vent
Donnant sur un coeur
Qui ne pompe plus que la lenteur
Ecoute le cette éponge
Qu'a t il pu absorber
Sur son passage comme rabais
Si ce n'est que songe et mensonge
Plein de certitude et convaincu
D'avoir de chimère en chimère vécu
Point n'est dur d'avoir rêver
Mais de ne plus pouvoir rêver
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Commentaires
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Posté le 12/10/2012 à 10:55:10
Attension aux fautes ! Mais sinon j'aime beaucoup la seconde strophe en particulier : l'idée du coeur qui pompe la lenteur est bien trouvée ! | |
blueberry |
Posté le 12/10/2012 à 11:09:28
Il n'y a pas de pire moment que de se sentir soudainement seul avec un vide sirérable. | |
abouabdou |