Au seuil de ta porte, mes lamentations,
Résonnent violemment, éveillant les badauds,
Apeurés par mes cris en lévitation,
Effrayants mon amour; pâle; pur; précis; chaud,
Me donne la force face à ce monde,
Étrange dont l'amour se moque de perdre,
Le mien s'attarde car il est une onde,
Puissante qui est affolée de perdre,
Notre amour dans ce vaste empire du dégoût,
Je souffre en rêvant à notre amour déchu,
Devant cette porte close, je prends le goût,
De patienter seul avec mon espoir perdu,
Malgré la passion qui m'embrase, je fuis,
Mais je sais bien que la fuite est une peur,
Sombre et intense, semblable à la nuit,
Clair sera le matin, vrai sera mon honneur.
Benjamin
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Commentaires
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Posté le 02/04/2012 à 23:30:24
J'aime beaucoup ce texte, je me reconnais par certaines lignes. Vraiment, coup de coeur de début de semaine! ;-) | |
janelher |
Posté le 15/04/2012 à 17:31:19
Je trouve ça très beau. | |
eco-blanchiment |