Ce n'est pas un poème,
Juste une plainte sourde
En moi, et qui se sème,
En une colère lourde.
De t'aimer mon amour,
Et ça m'ait interdit,
Nos chemins sont parcours
De flammes irréfléchies.
Des tendresses estompées,
Dans des heures qui se perdent,
Des nuits à te rêver,
Dans tes bras qui m'enserrent,
Est ce vraiment une vie,
De t'attendre sans cesse,
Brûlante d'amour, à vif,
Et ombre de ta faiblesse?
Car ces amours cachés,
Ô combien sont meurtris,
De mensonges et regrets,
Qui nous ensevelissent.
Et pourtant comme je t'aime,
Mon amour, mon roi,
Je pars et tu m'emmènes,
De nouveau avec toi.
J'essaie de résister,
A cette dépendance vaine,
Qui m'entraine à jamais,
Dans un monde sans sommeil,
Dans lequel je tourne,
En boule sur mon lit,
Et mes pensées se rouillent,
De t'attendre en dépit,
D'attendre ces instants,
Où - temps si merveilleux -
Nos âmes sensuellement
Deviennent de demi-dieux.
Puis, quand tu la rejoins
Se brise alors ma terre
D'amour à toi mon saint,
Mon homme de chimère.
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C'est un hymne à la vie qui toujours dira oui. Et moi, merci. | |
zenobie |