Dans l'aube silencieuse l'oiseau frissonne
Les pétales circulent entre les herbes drues
C'est le froid des campagnes et le froid de la rue
Sous le pâle ciel, un nuage de tonnes
Les visages de marbre dur semblent sculpté
Ces abysses glaciales s'étendent sans fin
On se sent fatigué, on a froid, un peu faim
Le monde semble oublié, parait occulté
Tandis que des orages à l'autre bout du monde
S'abattent sans pitié sur plusieurs innocents
Je frissonne chez moi, de l'angoisse naissant
Le temps passe, quatre temps, celui d'une ronde.
Tout ce que je réclame, moi l'impuissant
C'est un peu de chaleur, de lumière luisant
Écrit par Zigzag
\"L\'art est un mensonge qui nous fait saisir la vérité\" Picasso
"Mon bonheur ne serait pas bien grand, si je pouvais dire combien il l’est… " (Beaucoup de bruit pour rien, Shakespeare) Catégorie : Divers
Publié le 30/08/2021
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Commentaires
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Posté le 30/08/2021 à 18:21:47
Bonsoir, Etonnantes Images mais très , très Jolies !! Il faut faire un bon Feu, ranimer cette Chaleur perdue, et Frissons Délices arriveront !! LyS .. |
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Lys-Clea |
Posté le 30/08/2021 à 20:02:51
Super !!! J'adore . Il est parfait ton texte .. |
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ParadoXx696 |
Posté le 31/08/2021 à 11:10:15
Un grand frisson un peu triste... Très intense et très beau ! |
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Lucyline |
Posté le 31/08/2021 à 20:54:15
Merci beaucoup ! | |
Zigzag |