Après ce jour une porte s'est fermée
Derrière moi définitivement ...
L'emission s'est déroulée oralement
De l'autre côté du fil
Les mots et les anecdotes défilent
Je m'arrête plus longtemps
A certaines stations pour changer de ton
Je ressens le retour d'une notion
Preuve que je touche dans l'émotion
Une interlocutrice lectrice prend des notes
Que le vent sourd du séjour pianote
Sur les souffles traversant les égards
Un silence précède l'entrée de chaque gare...
Pour qu'une histoire s'éloigne du tourment
Le rideau se baisse définitivement.
Écrit par Yuba
me convient d'être avec les peuples qui meurent,
Je vous plains d'être avec les rois qui tuent. VICTOR HUGO Catégorie : Pensée
Publié le 11/11/2024
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Commentaires
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Posté le 11/11/2024 à 17:39:10
Oui il ne faut pas regarder en arrière parfois... Parce que le passé a ses disparus, ses émotions d'autrefois et qu'on ne peut plus raviver la joie particulière. Je ressens cela en ce moment, peut-être que ce poème évoque cette vague qui doit éclater nécessairement, et définitivement. Merci Yuba |
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Eau-celia |
Posté le 11/11/2024 à 18:34:24
BONSOIR YUBA TON TEXTE EST MAGNIFIQUE...UNE AURA DE NOSTALGIE INDICIBLE ...ET DE BEAUTE PRECIEUSE...( EN FAVORI!)! BONNE SOIREE! PRENDS BIEN SOIN DE TOI ! AMITIES VENTEUSES :) |
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romantique |