Vite une bougie pour le Scribe
Au besoin le premier Encensoir
Sous main avant la fin de la Soirée
Avant la note fermant le son de la Flûte
Il y a des chants en urgence à Aviver
Pour lesquelles se tiennentt les Roseaux
Debouts depuis le début de cette Histoire
Lorsque la vie etait decidée des Mères
Et qu'arrosent encore de devoir les Pluies
Persuadées de leur attachement ébloui au vent, Souvent
(Les mots en majuscules à la fin des vers
Viennent d' une liste imposée )
Écrit par Yuba
Si tu me demandes combien de fois
tu es venu à mon esprit Je reponderai une seule fois ... Car tu ne l'as plus jamais quitté Jalal-Eddine Roumi Catégorie : Amitié
Publié le 09/06/2022
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Commentaires
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Posté le 10/06/2022 à 18:55:14
Bonsoir Yuba, Et ces Majuscules imposées offrent une Aura à ce Texte !! ( et la Lettre ou le Mot entier ? ) BRAVO !!! Amitié, LyS .. |
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Lys-Clea |
Posté le 11/06/2022 à 05:17:42
J'aime énormément l'atmosphère que tu as suscitée ici, feu musical pour accompagner le vent compagnon de pluies ébloui d'être conduit vers le souffle de l'écrivant qu'il anime, poétesse... Un favori chère Assia en te remerciant de publier. | |
jacou |
Posté le 11/06/2022 à 07:55:22
Ces mères attachées encore au devoir dont le scribe retranscrit l'histoire à la lumière d'une flûte comme au son son de la bougie C'est très beau |
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Edelphe |