Mon corps se meurt,
Dans l'attente.
Mon coeur s'impatiente,
Figé, latent.
Doucement je m'éteins,
Toutes mes lumières
Rebroussent chemin.
L'espoir lanterne
A retrouver caverne
Et ma peine,
Est pleine
De fatigue
Se fatigue.
Ma main pleure, plaide :
Douleur !
Joie n'est pas.
Joie n'est que chimère,
Sans toi.
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Commentaires
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Posté le 06/09/2012 à 19:24:41
A lire à haute voix ! Super ! |
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MARIE L. |
Posté le 29/10/2012 à 04:25:54
J'avais écris ces vers dans une période très sombre de ma vie. Je résidais dans un cachot sans lumière, où l'air ne passait pas. Dieu merci, j'en suis sortie - avec des séquelles, certes, mais encore vivante puisque j'ai eu le courage aujourd'hui de ressortir ces vers de leur étui, j'aurai préféré dire de leur tour de fer. | |
Yonisland |
Posté le 29/10/2012 à 04:26:54
Sinon, merci, c'est toujours flâteur de constater qu'on trouve toujours lecteur, l'ami de n'importe quelle heure. | |
Yonisland |