Je distingue souvent sur moi
Les yeux fixes des statues immobiles
Pivotant autour de moi, si légère et si mobile
Oubliant la société civile – quelle dure loi !
De grands je n'ai sur moi, que ces cils grands et élancés,
Tombant légèrement comme coule l'eau d'une fontaine publique
Sur la grande place de la république. Mes mouvements vacillent
De gauche à droite, et comme une quille que l'on frappe,
Je réponds au tac au tac : « il y a un comme un couac ! »
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Commentaires
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Posté le 13/01/2013 à 21:27:46
c'est vraiment couac ce machin si beau si fin et admirable, merci de me faire couaquer yonisland | |
zeste |
Posté le 13/01/2013 à 22:54:01
eh bien, merci, de rien, msieur zeste. | |
Yonisland |