Le soleil n'est rien
Les étoiles sont vaines
Quand on te fait face
C'est notre rétine qui saigne
Lune, tu luis
La nuit est ton domaine
Un refuge après la peine
Un repaire après l'arène
Un repère pour les mortels
Un repaire pour les poètes
On s'y jette,
On s'y perd
Et dans ton regard on s'éclaire.
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
| Poème Précédent |
Partager ce poème:
|
Poème Suivant |
| Divers à découvrir... | Poèmes de Yonisland au hasard |
Commentaires
| Annonces Google |
Posté le 16/07/2012 à 05:35:08
 |
Très très joli, belle journée même mouillée. |
flipote  |
Posté le 16/07/2012 à 17:29:16
 |
Belle expression où l'on se laisse attacher par le sens et les images. Cordialement |
moebus  |
Posté le 26/08/2012 à 23:06:39
 |
Très joli, j'aime beaucoup le rythme et les images. |
Etoile  |
Posté le 14/09/2012 à 04:21:51
|
Une vision très singulière et poètique de la lune, si vivante, si habitée. |
| flipote |
Posté le 17/10/2012 à 16:03:33
 |
C'est assez marrant que Étoile commente ce poème après qu'on lui ait dit qu'elle était vaine ! Es-tu féministe intégriste pour dire que le Soleil (principe masculin) n'est rien et que la Lune (principe féminin) est Tout ? Sinon, j'ai bien aimé la concision pénétrante et efficace de ce poème lunaire. |
| Bragi |
Posté le 20/10/2012 à 20:57:47
 |
Aucunement intégriste féministe, simplement contemplatrice des émanations lunaires. Merci à tous, amis unis. |
| Yonisland |
Commentaires
| Annonces Google |