à L.
zébrette anonyme
tu cours les rues sans me croiser
mais t'y peux rien
l'amitié presque entamée
tu crois que la montagne nous empêche de grimper
parfois mieux vaut de pas savoir
où l'on va
*
résignation d'élan poli
c'est la fatigue qui domine
ça fait plus mal
ça fait plus rien
le temps se prend d'avoir envie
de s'emmêler
de s'éviter
c'est la marée des ancolies
aux airs d'amours mollis
*
colère piégée souvent domine
et l'on effeuille les pétales
jusqu'au dernier que l'on effleure
avec un doute au bord des lèvres
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Commentaires
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Posté le 30/07/2019 à 12:24:35
Joli poème ! L'air hésitant entre amour et amitié trébuche dans son émotion finale... Merci Victor ! |
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Yuba |
Posté le 30/07/2019 à 14:52:46
Merci Yuba ! | |
Victor |
Posté le 30/07/2019 à 21:24:53
Un poème plein de mélancolie | |
roserose |
Posté le 01/08/2019 à 15:27:55
Poème apprécié | |
Belle de jour |
Posté le 02/08/2019 à 17:16:30
Merci à vous | |
Victor |