Sous la lueur du Soleil couchant,
Tombent les flocons blancs,
Mes pas, déjà recouverts,
De cette froide neige d'hiver,
Le souffle hivernal,
Dans une fraîcheur banale,
Glace même mon sang,
Dans son perpétuel chant,
Mes membres glacés,
La seule douleur appréciée,
Suis-je maso ou accro du naturel,
Peu importe, car le vent vient du ciel,
Désormais je n'ai besoin de rien,
Plus besoin de tant,
Car ici rien n'a de fin,
Ici ne compte plus le temps,
Pendant que les derniers rayons du Soleil,
Percent les confins des nuages,
Mon regard se pose sur ces merveilles,
Et mon coeur s'embrase devant ce paysage.
Écrit par Tristitia
La vie ne tient qu'à un fil, qui finit tôt ou tard par casser.
Catégorie : Divers
Publié le 17/01/2011
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Commentaires
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Posté le 17/01/2011 à 09:46:04
beau et mélancolique poème,,,,, | |
flipote |
Posté le 22/01/2011 à 17:03:43
Merci flipote :) | |
Tristitia |