Il était une fois un fragment d'amour
Qui ignorait sa nature divine
Qui portait en lui un souffle éternel
Qui traçait son chemin sans fin
Il aimait une étoile qui brillait dans la nuit
Qui s'éteignait à chaque contrée
Qui renaissait à chaque vie
Qui l'attendait à chaque destinée
Il était guidé par un fragment de temps
Qui l'initiait aux secrets de la réalité
Qui l'escortait à travers les mondes changeants
Qui l'aidait à affronter son rival acharné
Il était confronté à un fragment de colère
Qui se rebellait contre son père
Qui ravageait sa création sans appel
Qui le défiait de le terrasser
Il était créé par un fragment de pouvoir
Qui régnait sur tout ce qui existe
Qui imposait sa loi sans merci
Qui le destinait à le vaincre
Il était enfermé dans un fragment de solitude
Qui l'ennuyait et le lassait
Qui portait la trace de sa faute première
Qui le poussait à s'enfuir et à chercher
Il découvrit alors son pouvoir divin
Qu'il apprit à maîtriser et à utiliser
Qu'il employa pour sauver le monde de sa fin
Qu'il partagea avec son étoile retrouvée
Il se sacrifia alors pour son fragment de temps
Qui se révéla être son ami fidèle
Qui lui confia ses sentiments sincères
Qui lui sourit avant de disparaître
Il pardonna alors à son fragment de colère
Qui se repentit de ses crimes odieux
Qui lui avoua sa souffrance éternelle
Qui l'admira avant de s'éteindre
Il rencontra alors son fragment de pouvoir
Qui lui révéla sa vérité cachée
Qui lui offrit son amour sans pareil
Qui lui tendit la main avant de s'éffacer
Il accéda alors à un fragment de bonheur
Qui l'accueillit et l'éblouit
Qui portait la marque de son acte glorieux
Qui le réunit avec son étoile et son père
Il vivait en lui deux fragments de son cœur
L'empathie et la haine, qui le guidaient, le tourmentaient
Qui étaient ses alliés, ses ennemis, ses chaînes
Qui étaient ses forces, ses faiblesses, ses tourments
L'empathie, douce lumière, qui éclairait son âme
Qui lui faisait ressentir les émotions des autres
Qui lui faisait aimer, aider, pardonner sans blâme
Qui lui faisait souffrir, pleurer, compatir sans faute
La haine, sombre flamme, qui brûlait son cœur
Qui lui faisait rejeter les injustices du monde
Qui lui faisait haïr, combattre, vaincre sans peur
Qui lui faisait blesser, tuer, détruire sans honte
Deux fragments de son cœur, l'empathie et la haine
Qui s'affrontaient en lui, le divisaient, le rassemblaient
Qui étaient ses choix, ses actes, ses chaînes
Qui étaient son passé, son présent, son avenir
Ainsi se termina l'histoire du fragment d'amour
Qui devint le maître de la réalité
Qui trouva la paix et le bonheur éternels
Qui resta avec son étoile et son père pour l'éternité
Taiyou
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Je vais faire la voix d'Elle, car Il a eu sa voix au chapitre (très beau) Elle était guidée par Des ossements d'amour épars Et parmi les fragments d'amour Se laissait aller à un tour Sorcière ou bienfaitrice Elle laissait les autres juger Et la sentence pendait à son nez Mais restait égale à sa matrice Elle l'aimait sincèrement En déposant la passion sur lèvres A-t-il reçu son infini firmament ? A-t-il touché à son suc, sa sève ? Est-elle juste une simple rêveuse Ou une initiatrice de rebellions dangereuses ? L'Amour vaut-il tous les sacrifices Ou bien dans le songe il s'immisce Délicieux... |
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Ocelia |
Un peu rude, et oser, je dirais tout de même ton texte Personnellement, "lèvre" j'ai déjà du mal à le dire C'est pas moi qui dirai le reste en dessous ^^ L'histoire ça vient d'une histoire que j'avais écrit enfant et un jour Je pense que je le ferais en histoire, mais pas tout de suite J'ai expliqué ailleurs hier avec ce texte : . . . J'avais commencé vers 12 ans environ, mais vers 15 ans, quand je suis tombé amoureux, je n'avais même pas fini 15 livres En environ deux ans, j'ai achevé plus de 30 livres avec des illustrations et autres Il y a des gens qui, quand ils aiment une personne, s'en désintéressent, d'autres qui écrivent quelque chose Moi, j'ai toujours été extrême et j'en ai achevé en vérité plus de 50, parce qu'il y avait toutes les histoires que je jugeais comme subsidiaires Par exemple, l'histoire de (É) durant l'éclipse du héros, ce qu'elle a accompli (elle édifie une vie, différence du héros) Il n'y parvient pas, parce qu'il est tellement principe, il est tellement lui quoi ^^ Le héros dans le récit consacre tout son temps à rechercher chaque fragment Et dans chaque monde, il y a un fragment, ils sont tous sombres Il anéantit la vie L'objectif secondaire du héros, c'est de retrouver celle qu'il chérissait Mais son objectif principal, c'est de corriger toutes les bugs Et il apprend vers la fin que les anomalies sont en vérité son propre reflet... Si des choses étaient arrivé ainsi ou autre Je ne me souviens plus du nombre exact, mais en synthèse ce sont tous des répliques de lui qui sont à l'origine une Réplique du Divin. Mais chaque création a échoué... Et (I), c'est en quelque sorte une partie Dieu indirectement Et c'est pour cette raison qu'il aide le héros, parce qu'en lui, il se revoit entier alors que lui ne l'est plus vraiment En clair, si certains ne comprenait pas, les dispositifs (système) étaient une parcelle de la conscience de Dieu Dans mon livre, Dieu était tellement rempli d'émotion qu'il les créa tous, mais il jugea qu'après tout Il était mieux d'en effacer, ce qu'il jugea plus tard être son erreur, ce que le héros juge qu'il n'est pas Aller assez loin, oui le héros considère que beaucoup d'émotions ne devraient plus être Et le héros est bien le seul à consacrer toute sa vie et toutes ses vies à chercher à rectifier ces dysfonctionnements de la matrice Mon livre n'était pas une romance, même si elle pourrait l'être, mais une allégorie de l'existence Le héros au début demeure solitaire, aimait cultiver des fleurs et rêvait d'enfant Parfois je me suis interrogé si je ne suis pas tombé amoureux Parce que d'une certaine manière je voulais susciter les mêmes émotions au héros dans mon recueil En synthèse, la haine qui ravage tout, l'empathie qui s'égare totalement jusqu'à oublier son propre nom et ne faire qu'aider et cetera Sont tous des voies que le héros lui-même aurait pu emprunter, c'est ce qu'à l'époque mon livre voulait transmettre Si je devais le réécrire aujourd'hui et le dessiner, je modifierais des passage et rendrais tout plus fluide Mais je ne changerais pas l'histoire, parce que pour moi c'est mon histoire Quand des personnes mourrait, c'était parce que dans la vie : certains mourrait Quand des personnes s'aimait c'est parce que certaines personnes s'aimaient dans la vie aussi J'avais même créé en 2 ans : Plus de 300 documents Textes Plus de 100 Documents World avec des images que j'avais créées et plus de 40 livres d'environ 300 pages chacun |
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Taiyou |
Oui je suis une femme RUDE, à fleur de peau. Bien vu. Je prends toute l'électricité de ton texte et le remodèle à ma sauce. Taiyou il faut lâcher prise pour être heureux. Bon courage. Les ballons s'envolent. |
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Ocelia |