Les ocelles ochracées du mélicerte s'épanouissent au gré des ascendances,
Les poèmes torsadés du vrai dissertent les acoustiques chauffées des arts pensants,
Telle ou telle forme placée, une esquisse nette, déjà, pour vivre, comme l'été l'âme s'entend,
Des proverbes proclamés, une thèse sylvestre, les sages houris aux pieds des phrases dansantes,
Des hautes stèles, au papier, une belle lisière, l'air s'assouplit comme fêté par l'encens,
Préposé aux altières vues des lignes saines, l'être s'adoucit aux aimés accents tendres,
Les promesses au passé, pur esprit sait, l'extase s'ourdit, aux piétés, la langue grande,
Les honnêtes monarques nés d'une épithète très aboutie osent des égards changeants,
Quel haut ciel donne l'accès du rêve qui sait ? Est assoupi l'homme né des fragrances d'anges.
Écrit par Syntax_Error
"L'homme fait la sainteté de ce qu'il croit comme la beauté de ce qu'il aime."
Ernest Renan Catégorie : Poésie
Publié le 03/10/2021
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