Lorsque le fruit de la pensée est mûr, il perle de l'arbre des connaissances pour rejoindre la terre
Si celui-ci est ramassé par l'être, la connaissance s'épanouira parmi ses semblables
Si celui-ci est laissé là, le fruit, s'imprégnant dans la terre, engendrera un nouvel arbre de connaissance
Nouvel arbre qui engendrera un nouveau fruit de la pensée, cette fois-ci ramassé par l'être qui était passé à côté la première fois.

Au pied de l'arbre, l'être pense, tant et si bien que de la réflexion le fruit croît
Murissant une sève des connaissances, teintant le fruit de ses plus belles nuances
Des chemins de la pensée, la connaissance est toujours le point d'orgue
Le savoir étant un bienfait, l'être, par la pensée s'élève et en apprend plus sur le monde le composant
Sa voir, en deux mots, sa, adjectif possessif (qui appartient); voir, vue
Sa propre vue. Le savoir est donc la connaissance de sa propre vue
Plus la vue est aiguisée, plus le savoir est grand,
La pensée étant vue de l'esprit, plus la pensée est profonde, plus le savoir est grand
Ainsi, plus le savoir est grand plus la connaissance s'accroit.
Ceci est un cycle naturel qui permet à l'être de devenir meilleur
Le temps du murissement du fruit de la pensée.