Marchant chaque soir fiévreuse
Dans des vallées ténébreuses
Ne sachant par où aller
Ne sachant que décider
Elle longeait ces longues routes
Le cœur rempli de doute.
Des larmes jaillirent de ses yeux,
Car de la vie elle était lassée.
Tout le monde y compris Dieu,
L'avaient totalement abandonnée
Dans sa nostalgie
Qui fait de sa vie une mélancolie.
Elle n'a plus d'importance à ses yeux
Puisque ses beaux jours lui ont dit Adieu.
Mais que se passe-t-il ?, Un soleil,
Sur ses jours fait merveille !
Et à mesure qu'elle se déplace,
Pour toujours ses mauvais jours s'effacent,
Car elle s'est rendue compte p't'être un peu trop tard
Que ce n'était juste qu'un cauchemar.
Écrit par Sophie
Garder son âme d'enfant n'empêche pas de mûrir
Catégorie : Divers
Publié le 14/06/2007
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Commentaires
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Posté le 14/06/2007 à 19:09:52
joli poème , heureusement que ce n'est qu'un cauchemard , et que le réveil est plus beau, plus joyeux J'aime ce poème |
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Brigitte |
Posté le 14/06/2007 à 21:09:29
j'espère que ça sera le même cas pour moi et que je serai enfin délivrée du cauchemar qui m'a torturé toute une année inchallah ça sera fini je garde l'espoir, je relève le défi, et je me patiente encore pour être délivrée de ce noir cauchemar j'ai apprécié la fin de ton poème j'attends ce beau réveil qui mettra fin "inchallah" ( si dieu le veut) à ma souffrance | |
joe_dassin |