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D'apparence, je suis bon vivant,
Mes écrits insinuent le contraire
Peu de gens savent mon enfer,
Mes vers se font testament.
Mon émoi a la couleur du sang,
Mes nerfs similaires au tonnerre,
Mon cœur, un tas de poussière,
De mon corps, je suis absent.
Amis, famille, collègues, parents,
Ignorent ce qui m'est fort amer.
Je lance ici une bouteille à la mer,
Et fais de vous mes confidents,
De tourner la page il est temps,
L'oublier je ne sais comment faire.
En attendant, mon cœur je libère,
Désolé si je compose tristement.
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Commentaires
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Posté le 13/02/2008 à 09:07:17
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Mais non, bien que ce soit la tristesse de ton coeur que tu déposes sur le papier, c'est un réel plaisir de te lire... |
Harmonie ![]() |