Le faisceau profond de ton âme, aiguille,
tout à fait oblongue, en mare qui brille,
dit à mon esprit d'être la couleur
précise, en amont, le talent au cœur,
l'aval et l'amont, penser en chantant,
chevaliers du temps, passé au présent,
j'avance vers vous, par cette promesse,
balancelle au bout d'allures princesses,
que j'ai faite au ciel, de vous retrouver,
sur sept arcs-en-ciel, tous m'ont approuvée ;
j'avance en silence et à la musique
d'avant cette transe au halo mystique,
transe pour sortir mon âme en voyage
de l'anse à tenir, l'amour, ses bagages.
Vis mon âme, et prends-la comme elle est, libre,
lis mon art du temps, pour apprendre à vivre,
pendant que lui veille sur mes jambes douces
toutes ces nuits claires, l'ange étrange pousse,
je suis l'ange-femme espérant ton orbe ;
entre dans mon âme que rien ne résorbe !
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Écrit par Sarahg
Le coeur est un sillage où le suit l'âme en feu,
qui jamais ne retient son désir d'être bleue, de rejoindre son nid par l'encens du divin, pas autrement que dans l'âme de son Vulcain. Catégorie : Poésie
Publié le 09/05/2024
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Excellente plume. Tous les anges n'ont pas d'auréole. Mais le vôtre mérite la sienne. 👍 |
singe vert ![]() |
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Si vous acceptez qu'une entité mi ange mi démon vous fasse un compliment prenez le mien: vous êtes belle comme un sous, par rapport à vous je suis vilain comme un poux, j'en serais presque jaloux... |
Plume borgne ![]() |
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Merci à vous pour vos compliments, j'y suis sensible même si pas excessivement, je reste sur ma ligne et mon chemin. Le temps est le Maître des Oeuvres. Merci pour vos commentaires. |
Sarahg ![]() |