Depuis quand suis-je dépendante de mes cauchemars ?
Je me noie, loin des marasmes obscurs de mes délires,
Se raccrochant vainement aux brides oniriques de ma peine.
Ils sont ma seule issue dans ce labyrinthe de lumière
Sans murs, ni frontières.
Mes ailes se cognent et s'harponnent
Au fil des pieux irisés de la raison.
Mes crocs s'aiguisent en vain dans le noir,
Pendant que crisse le satin des passions sages.
Besoin d'herbes et de prairies, pour se perdre et se fondre dans L'horizon.
Respirer enfin,
Sous l'égide couronnée du soir...
Écrit par Rydia
La cohérence est le dernier refuge de ceux qui n'ont pas d'imagination.
Oscar Wilde Catégorie : Divers
Publié le 23/09/2012
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de Rydia au hasard |
Commentaires
Annonces Google |