Il n'y a pas pire qu'un baiser,
Sombrant au cœur d'un hiver
Sans aucune vie pour braiser
Un espoir par cette nuit sévère.
La nuit ou la bougie s'éteint,
La faucheuse apparaissant ainsi
Montrant le macabre visage
De nos frayeurs enfantines.
Moi je l'ai goûté de très près.
J'ai pu ressentir sont haleine
Qu'était comme un décret
Semblable au chant de la baleine
Mais de façon plus sinistre.
Des hommes y sont passés
Des femmes y sont passées
Même des enfants y sont passés
Mais où vont toutes ses âmes ?
Je suis mort qu'une fois,
S'était lors d'une rupture
L'amour était là dans le froid
Baignant dans le sang aux murmures
D'un vieil homme l'enterrant
À jamais dans les ténèbres.
La mort à deux visages,
L'un est la destruction du cœur
L'autre la pourriture de la chaire
Descendant au grand jamais
Dans l'oublie éternelle.
Je suis mort une seule fois,
Et cela fait de moi un vampire…
Mes amis… J'ai soif de vie…
Soif de folie, j'ai soif d'amour,
J'ai soif de chacun d'entre vous
Nourrissez-moi !
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Quel élan de vie ! Quel élan d'amour ! Une renaissance puissante ! Qui fait même un peu peur, je vous avouerais. |
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