Pour sûr... je vous le dis,
celle-ci ne me la racontez pas.
A peine suis-je descendu de mon lit,
vous m' envoyez au trépas
et vous m'en voyez marri
si vous me parlez de la Russie.
Qu'en ai-je donc à faire,
De partir, au matin, de Léningrad,
pour aller ventre à terre
et mors aux dents, jusqu'à Stalingrad
en passant par Moscou et Nanterre
tout en oubliant Marseille et sa Bonne Mère.
Oh fan de chichoune, té vé la bonne affaire!
Pourquoi te moques-tu, toi, de ma Lada?
Si je n'étais pas au parti, peuchère,
pour sûr, je n'en aurais pas
Et si j'y étais, mais là bul' de gomme et mystère,
tu y crois, je n'aurais que droit de me taire.
Sois en certain, mon pauvre Augustin...
En aucune manière qu'il en soit,
De la Trinité à la Saint Glin Glin,
Avec ton violon juché sur le toit,
avant que tu ne me chantes les quatre vérités,
je te dirais qu'on y va plus vite à cloche pied.
Écrit par Raymond_MATABOSCH
Cent fois sur le métier remet ton ouvrage car c'est en forgeant qu'on devient forgeron.
Catégorie : Drole
Publié le 26/10/2006
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belle folie | |
homere |
bel écrit, joli poème, Raymond...:) | |
MAZBRI |
et les poupées Russes tu aimes bien? les Russes ils ont aussi une note de musique sur le violon, c'est UT parce que L'UT est RUSSE. beau poème Raymond moi je m'amuse. | |
plustout |