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Dans un trou paumé, loin de la civilisation
Où seul dans le coin se situe une sinistre maison
Au beau milieu d'une vide campagne
Là où le nom du département est Champagne.
La maison semblant être abandonné
Mais le cas contraire habite un homme
Tenant dans sa main droite une bouteille d'alcool,
Qu'il bu à coup sec, surement pour oublier
Un tragique passer, trahi par sa femme,
Le remplaçant par un autre homme.
Son cœur poignardé par une lame
Qu'à la pointe, le sang à l'odeur du Rome.
Devant lui, une table et une chaise en bois
Vieillis et pourris par leurs temps âgée
Couvert d'une nappe en tissu de soie
Que dessus est posé un stylo et un papier,
Encore rien écrit dessus, car l'homme hésite
De ces mots écrits avec son stylo Bic
Payé dans une librairie dans une autre ville,
En Normandie à Deauville.
Oui, l'homme à une voiture Peugeot
Qui roule sur plusieurs nationales et autoroutes
Espérant un espoir d'avoir un accident sur la route,
Mais aucune chance pour lui qui tourne autour du rouleau.
L'homme enfin se décide à s'asseoir et prendre le stylo
Le Bic pointé en écrivant sans encre pour de faux,
Il ne sait pas par quel mot et phrase à commencer.
Il cherche toujours à écrire mais sa tête est confus,
Pour en finir il essaie de tout se vider
Et se calmer pour écrire sa lettre déchu
Que de désespoir et de tristesse,
Pire qu'un roman que tu trouves à la presse.
Enfin il se décide
Et commence à écrire :
«Â Je ne sais pas par quoi commencer
Mais au début je voudrais remémorer
De tout ce qu'on a fait ensemble
Commençant par notre première rencontre
Qui fut dans cette l'hôtel dans une chambre,
Te souviens tu de comment ça c'est tourné,
Comment ils ont bien pu nous confondre
Et nous mettre dans la même chambre,
Qu'on a passé toute la nuit à porter plainte
Contre les employés de cette foutu hôtel
À 2 étoiles avec seulement 19 chambres,
Je sais, tu dis que là je fais une feinte
Mais te voyant, tu étais la plus belle
Que j'ai pu m'empêcher de te faire boire
Après ce long conflit qui avait réussi
Enfin à porter tout ces fruits.
Je reviens à ce bar où je t'ai fait boire
Car je voulais en savoir plus sur toi
Puis nous finissant complètement soul
Au matin me réveillant et te voyant toi,
Je pensais encore que j'ai fini avec une poule
Comme chaque soir dans un bar à minuit,
Mais en me frottant bien mes yeux c'était bien toi
Bien allonger sur le grand lit.
Était-ce dans ma chambre ou la tienne
J'en ai plu grand souvenir en mémoire
Mais cette première rencontre au soir
Resterons en moi qui sont mienne
Et non plus toi où tu reposes avec lui
Que je me demande pourquoi ça
N'était-je pas assez bien pour toi ?
Qu'avait-il de mieux que moi lui ?
Attends je m'arrête d'écrire
Mon poigné me fait mal
Ça doit te faire rire
Mais mon cœur a encore plus mal ! »
Il s'arrête avec un point d'exclamation
Prouver son dévouement et cri de colère
Tel les grondements de tonnerres
Qui produisent des gros sons
Écrit par Portax
J'ecris des bêtises
Pour en rire Sans que je les relises Ni les réecrires Catégorie : Triste
Publié le 26/05/2009
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encore un super comme d habitude | |
atsuko |
Il et cool mais tu fait encore quelque erreur de formation de phrase néanmoin les rime sons trés bien. Amicalment, sofia. |
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sofia |