J'entends ces petits oiseaux, qui chantonnent au loin,
ce mini moineaux, dés qu'il se dépose, sur le tonneaux de vin,
entre les chemins, la belle garrigue,
en marchant sur les mains, la même fatigue,
mais ça pique un peu, les figues de barbaries,
et puis quand il pleut, on a le cul trempé,
et pourquoi tu ris, et j'ai pas finis,
de te raconter, et ça y est j'y suis ,
le sud s'évapore, et mon Salagou, saute le brochet,
au bout de la canne, dans mon lagon rouge,
a pisser dans l'eau, et a tout lâcher,
a boire du rouge, sans jamais se fâcher,
j'allume les bougies, quand la flamme bouge,
partent les souris, viens au coin du feu,
te blottir au chaud, et t'emmitoufler,
boire du café, enfin juste un peu,
pour bien dessaoulé, a ce qui parait,
c'est inefficace, c'est le moniteur,
de l'auto école, qui me la raconté,
et pourquoi conduire, si c'est pour ça qu'on meurt,
il vaut mieux s'enfuir, prendre les sentiers,
et puis s'échapper, nargue la police,
regarder les nuages, pas comme un novice,
voir les dessins, du ciel bleu ou blanc,
éviter les essaims, de trop nombreux gens,
a la grande ville, a ton Montpellier,
partir dans les tramways, sans jamais payer,
de toute manière, c'est eux les voleurs,
car leurs distributeurs, ne rendent pas la monnaie.
Écrit par Plume borgne
petit a petit viens l'appétit.
Catégorie : Chanson
Publié le 24/06/2020
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oui c'est ça je sais j'ai vu à mon tour passer la monnaie et passer mon tour mais la vie est dure même avec les yeux même avec l'amour même sans rien du tout prendre le sentier qui mène au sommet |
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marinette |
Très beau. Merci. J'y vois le talent de Jacques Brel | |
creature |