Louange à toi belle douceur
Qui me force avec douleur
A écrire cette humble poème
Pour décrire tout ce que j'aime
Et dans mon cœur l'espérance
Qui ne s'allonge à outrance

A la belle étudiante
Délicate et troublante
Et pour qu'elle nous ensorcelle
Telle un magnifique soleil
Un homme écrirait ces vers
Sans entrevoir la misère

A la douce institutrice
Qui devient persécutrice
Par certains petits silences
Mais qui redonne confiance
Par un message bien limpide
Qui ne laisse pas insensible

A celle pour qui l'amitié
Est l'unique destinée
J'espère pouvoir parvenir
A récolter un sourire,
L'occasion de bavarder,
Bien plus s'il m'est accordé

A vous si douce Harmonie
Qui me rendit ébahi
En acceptant cette danse
Qui me fit voir l'élégance
D'un corps charmant rapproché
Que je ne voulais pas quitter

A la gracieuse cavalière
Source d'où jaillit la lumière,
Langue prestige de ta bouche
Chétive chose qui me touche
Et l'attraper de mes lèvres
Ne se fera par ce texte

A l'inespérée beauté
Que je ne puis aborder
Sans accoucher cet écrit
Ou lyriques réussies
Amatrice d'habiles lettres
Aimerez vous mon être?

Très précieuses demoiselles
Ne laissez ce petit poème
Devenir cruel échafaud
N'ignorez pas mes défauts
Acceptez les gentiment
Appréciez mon âme vraiment.