Mot après mot, vers après vers, stance après stance,
comme un dément, je creuse l'air recherchant l'or
des rayons du soleil pour mon confiteor
qui supplique ton cœur de lever ta sentence.
J'avoue avoir péché contre ta bienveillance
tant aujourd'hui qu'hier et je lamente encor
mes écarts et méfaits dignes de Belphégor
qui ramènent la peur en tuant ta vaillance.
Je prétendais t'aider à supporter ton sort
et la paranoïa de ton méchant consort
par baisers et câlins enfouis dans mes poèmes.
Je reconnais ici mes fautes et mes torts
fruits d'une passion qui cause mon remords
en aspirant goûter la bonté que tu sèmes.
Écrit par Pierre de Coeur
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Pierre de Cœur Catégorie : Amour
Publié le 15/10/2016
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Commentaires
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Posté le 15/10/2016 à 21:18:27
Bonsoir Pierre, Je te souhaite qu'elle lève ta sentence et vienne fleurir ton coeur ! Un beau sonnet émouvant en partage ! Bonne soirée ! Mes amitiés Sybilla |
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Sybilla |