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J'ignore encor pourquoi tu choisis m'éconduire
quand tu m'aimais et tu savais que je t'aimais
– le Grand Amour, le tout premier, sans guillemets –
dont l'intenable absence a failli me détruire.
Je connais ton désir d'éviter de me nuire,
tu te voyais indigne, à peine un simple mets,
quand contre l'univers entier je blasphémais
pour te croire perdue, impossible à séduire.
Pourtant ton tendre fut plus puissant que le mien ;
tu n'as pas pris la route ainsi qu'un bohémien,
mais il brûlait toujours lors de ton mariage.
Soumise d'habitude aux choix de tes parents,
tu te laissas porter par les mauvais courants
d'un destin malandrin, le fiel qui te saccage.
Écrit par Pierre de Coeur
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Pierre de Cœur Catégorie : Amour
Publié le 19/02/2016
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Commentaires
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Posté le 19/02/2016 à 09:11:03
Magnifique...Les je t'aime s'effeuillent ce matin ... Bonne journée |
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MARIE L. |
Posté le 19/02/2016 à 09:53:01
Les femmes sont insaisissables .. Mais votre chagrin est bien réel , et votre poeme qui l'exprime si bien aussi Amitié poétique |
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