Paméla fleure la lavande
et palpite si bien du cil.
Se pourrait-il qu'elle m'en vende ?
C'est ma senteur préférée. S'il
fallait effondrer la muraille
et me transporter en ce lieu,
peu m'importe si l'on me raille.
J'idolâtre son parfum bleu.
C'est une essence envahissante.
Mais enivrante, sentez-la !
Prenez la garrigue. Une sente
y mène aux fleurs de Paméla.
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Écrit par Pierre Lamy
https://zoulipoems.jimdofree.com/
Catégorie : Poésie
Publié le 05/08/2023
|
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Commentaires
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Posté le 05/08/2023 à 16:33:19
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Vous ici? :D Le poème et le cochon sont géniaux. Je le mets dans mes favoris direct. Il manque juste un pied à "Fallait rompre la muraille". |
Bella de Vnirfou ![]() |
Posté le 06/08/2023 à 10:48:32
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Merci Bella J'ai rectifié le tir. |
Pierre Lamy ![]() |