Quand l'hiver et son froid rejoint ton cœur
Qu'aucune chaleur ne peut ravivé,
C'est l'instant pour oublier tous les heurts
Des naufrages et sentiments chavirés.

Cette température ne laisse aucune flamme,
Fige et disperse les pseudos du bonheur,
Pour qu'elle n'atteigne pas toutes les âmes
Aux sacrifices gelés des sacrés cœurs.

Mais quel héro se jette dans ton building?
Serait ce le fou du froid sans foi ni tour?
Imperméable de croire qu'il s'indigne
D'y transmettre les saintes glaces au détour.

L'I vert, super héro en monochrome,
Droit et sûr que personne ne le consonne,
Révèle sa couleur au rythme des psaumes,
Bien égal que plus un homme ne résonne.

La mosaïque de Carreaux ne reflète
Ni les douces voyelles interrompues,
Ni la caresse qu'imposent toutes ces fêtes,
Mais bien l'effroi des êtres corrompus.

Bien heureux ceux qui ne sentiront pas
Les froids sans peur des villes et des campagnes,
Aux sein de cœurs fatigués des cents pas,
Pour trouver la chaleur d'une compagne.

Alors pour qu'il n'y ait pas de restes
Et que le Monde s'endorme tranquillement,
Ils resteront sourds à la saint Sylvestre,
Où le silence est d'or le plus souvent.