Et soudain, au milieu du plein cœur de la nuit,
Frissonnante, glacée dans son lit de tempête,
Je me tourne et soupire quand sonne minuit
Et le calme revient dans mon corps et ma tête.
La fameuse légende du calme qui suit
Inévitablement l'ouragan qui s'entête !
La paix carillonnant quand s'annonce midi
Après avoir enfin terrassé cette bête,
On aimerait la voir, l'embrasser goulûment,
La prendre dans ses bras, l'aimer passionnément,
Se frotter à sa peau durant cent mille années !
Mais la voilà qui fuit encore, la cruelle,
Ses baisers sont des leurres, elle en rit la belle,
Elle n'existe plus, n'a jamais existé.
Écrit par Pascal Dut
Catégorie : Pensée
Publié le 26/02/2023
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Commentaires
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Posté le 26/02/2023 à 09:06:59
Bonjour Pascal Dut L'illusion nait du rêve et la perdre c'est aussi perdre son rêve. Alors continuons de rêver car même dans l'illusion ça aide à vivre. Joli poème. |
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Charlie |
Posté le 26/02/2023 à 09:51:49
Cette créature de rêve paraît aussi désirable qu'insaisissable. | |
scyles |