Si je ne puis contrôler mon esprit
Je puis cependant y cacher ses cris
Malgré mon sourire qui te fuit
Mon corps est empli de tristesse sans vie
Ceci,je ne t'en blâme pas
La mort,c'est comme ça
Plongé dans mon désarroi
Je ne t'oublie certes pas
Mais je ne puis m'y penser
Rester y vivre alors noyé
Par ces larmes qui ont,
Précédemment,abondamment...coulé
Personne pour me réconforter mais...
Je ne suis pas homme a tomber
Cachez mes faiblesses,j'ai des gens a protéger
Ma famille,a élever
Je suis certes blessé,
Aucunement achevé
J'ai grandi infortuné
J'ai appris a m'en passer
Fini donc de pleurer
A mon tour de combler
Dans les cœurs,
dans les âmes,
L'absence de plaisir,
D'une trame,
Sans rames,
Regagner leurs envies,
Dans le flux de la vie.
Écrit par Novicepoetique
Novice parce que même le meilleur des hommes,je le serai quand même.
Catégorie : Divers
Publié le 08/04/2012
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Commentaires
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Posté le 08/04/2012 à 01:49:41
Je l'ai mis dans divers, mais je pourrais bien mettre cela dans la tristesse étant donné que ce poème commence par une tristesse et fini par un espoir. Petites notes (Ne lisez pas cela avant le poème): *Lorsque je notais 'élever' je ne pensais pas "à éduquer" mais bien à "monter, faire passer d'une hauteur". **En créant ce poème, j'ai pensé créer un poème de l'esprit "sortant de la dépression mentale, de la fin de sentiments". Bonne nuit |
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Novicepoetique |
Posté le 08/04/2012 à 07:00:25
toujours aussi obscur pour mézigue, néanmoins, ça ne fait rien, j'aime ton écriture. | |
flipote |
Posté le 08/04/2012 à 09:18:21
poème captivant. | |
eco-blanchiment |
Posté le 08/04/2012 à 10:48:13
Poème très touchant, surtout les 2 premiers vers, ça me renvoie direct au tableau d'Edvard Munch "Le cri", terrible... | |
maline |
Posté le 08/04/2012 à 20:28:27
Je rejoins flipote mais peut - être avec des explications plus simples que tes commentaires on comprendrait mieux et apprécierait encore plus | |
PATGUI |
Posté le 10/04/2012 à 18:20:46
ton poème me fait penser à quelqu'un qui se débat comme s'il apprenait à nager et que parfois il oubliait les gestes qu'il a pourtant assimilés petit pour ne pas se noyer. Je retiens la fin : le flux de la vie, bien plus positif que le reflux mais les 2 sont liés. J'ai aimé ton écrit. | |
MarieVenture |
Commentaires
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