Je me souviens de toi sur ton lit,
De ton regard quand tu me vis,
De mon sourire troublé
Par des larmes coulées.
C'était un dimanche 15 janvier,
Cette date dans ma mémoire à jamais gravée ;
J'étais venu te voir pour une raison toute particulière
Dont aujourd'hui je ne suis pas très fière :
C'était la veille de mon anniversaire.
Je t'avais toujours connu,
Belle, Immaculée ;
Ce jour là, je te découvris défigurée.
Je ne compris pas pourquoi en me voyant,
Tes yeux s'étaient remplis de larmes :
Peu être que toi tu le savais,
Que c'était la dernière fois que tu me voyais…
Je repartis, anéantie.
Tu m'avais donné une lettre :
Que je devais lire, loin,
Très loin de toi…
Evidemment je le fis ;
Quand je l'eu fini,
A ce moment très précis,
Je sus que tout était fini…
Elle s'achevait d'ailleurs ainsi :
« Mon ange adoré, ne change en rien ce que tu es,
Tu étais mon idéal incarné… Ne m'oublie jamais. »
Je n'ai jamais eu l'occasion de te le dire,
Mais, chaque enfant a besoin d'un modèle,
Toi tu étais mon essentielle.
Je t'aime, même au delà des frontières.
Écrit par Nothing
Sur les ailes du temps la tristesse s'envole.
Catégorie : Triste
Publié le 11/11/2006
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très émouvant ton poème. il ou elle sera toujours dans ton coeur. très très beau poème. | |
plustout |
.. Ma grand mère(l) | |
Nothing |
...touchant...plein d'émotion..j'en suis resté bouche bé... | |
titi |