Au bris des vagues du silence,
Dont la musique m'a raconté,
Tout de l'humain, et de son ignorance,
dont il s'acquitte en s'écoutant parler,
A la parole fouragère,
De ces belles phrases que l'on se lance,
Que l'on se mache, que l'on se sert,
Quand on n'sait ce que l'on pense,
Au rire abrupt de la faucheuse,
Je sais bien moi, qu'elle reconnait,
Qu'à force l'humain fait du mielleux,
Pur oublier son p'tit réel.
Je lève mon verre à nos orgueils,
Je trinque sec, pour une rose,
J'y laisserais, un bout d'mon coeur,
A défaut d'en faire une prose.
Écrit par Noctendiurne
Et si je peux oublier, verbe, et si je peux, et sans paroles,
Te dire des choses, même les mêmes, Sans de l'emblême, être l'aumone. Gregor Perret http://gregorperret.blogspot.com/ Catégorie : Amitié
Publié le 22/08/2009
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